Statuts de l'URCEC : des modifications significatives l — Union des Réseaux Congréganistes de l'Enseignement Catholique

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Statuts de l'URCEC : des modifications significatives l

L’assemblée générale extraordinaire a permis de se prononcer sur les deux modifications proposées à l’approbation des adhérents. Ces propositions de modifications portaient sur deux objets qui marquent pour le premier la nécessité d’accompagner les réseaux dans leur transformation et d’ouvrir l’association à de nouveaux types d’adhérents, pour le second, de prendre acte de l’évolution de notre écosystème, en n’excluant plus qu’un laïc puisse accéder à la présidence ou à la vice-présidence de l’URCEC.

Concernant la nature des adhérents, si jusqu’alors seuls les réseaux congréganistes, les sociétés de vie apostolique ou instituts de vie consacrées étaient adhérents à l’Union, le conseil d’administration a souhaité ouvrir cette possibilité aux Fondations canoniques et associations publiques et internationales de fidèles. La motivation relative à cette évolution tient au fait que ces nouvelles formes juridiques, sans être congréganistes au sens strict du terme, sont aujourd’hui "qualifiées" pour exercer la tutelle. D'autre part, à l’instar des tutelles congréganistes, elles justifient cette capacité, par le message éducatif dont elles sont porteuses, message enraciné dans une spiritualité de référence. 

Cette première modification est, bien entendu, loin d’être neutre et a suscité des remarques sur diverses conséquences que le conseil d’administration devra étudier à commencer par la dénomination de notre association en raison de son caractère qui n’apparaît plus exclusivement congréganiste. 

La seconde modification concernait la capacité à accéder à la présidence et à la vice-présidence de l’URCEC, jusqu’alors limitée aux seuls consacrés ayant assumé des responsabilités de Supérieur(e) Majeur(e), de Conseiller ou Conseillère générale ou de Provincial(e). Si l’échéance ne semble pas se profiler à court terme, cette restriction ne semblait plus objectivement souhaitable, pas plus qu’elle ne serait sans doute « tenable » dans un proche avenir.

Après en avoir débattu, l’assemblée a approuvé les deux résolutions.