La mixité sociale et scolaire – Interviews de Philippe Delorme — Union des Réseaux Congréganistes de l'Enseignement Catholique

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La mixité sociale et scolaire – Interviews de Philippe Delorme

Philippe Delorme, secrétaire général de l'Enseignement catholique, continue à répondre à la presse sur la mixité sociale de l'Enseignement catholique, suite à la publication d'indicateurs par le ministère et dans la perspective du plan mixité que ce dernier devrait présenter début avril.

Mixité scolaire et Enseignement catholique : des lignes rouges à ne pas franchir

« Nous ne sommes pas dans un bras de fer avec le ministre de l’Éducation nationale » confie Philippe Delorme au Café pédagogique: « Nous sommes dans une discussion où chacun d’entre nous veille à ce que soient respectés les principes de la loi Debré. De notre côté, il s’agit de vivre pleinement notre caractère propre. Aucune affectation ne sera donc possible, nous ne toucherons pas à la liberté de choix des familles ni à la liberté de choix des établissements » La suite de l'interview détaille les pistes envisagées pour lever les freins financiers et culturels à l'augmentation de la mixité sociale au sein de l'Enseignement catholique.

L'article de Lilia Ben Hamouda du 09/03/2023
en intégralité, sur le site du Café

L'article de Lilia Ben Hamouda du 24/03/2023
en intégralité, sur le site du Café

Philippe Delorme, secrétaire général de l’Enseignement catholique rappelle la marge d’autonomie structurelle des établissements mais veut croire dans l’impulsion donnée nationalement. « Il y aura toujours la tentation de l’entre-soi et ce n’est pas moi, Philippe Delorme, qui vais faire mettre au garde-à-vous toutes les familles ou les chefs d’établissement de France. Mais nous croyons profondément à la richesse qu’apporte la mixité sociale, mais également culturelle et religieuse. C’est le message que nous voulons faire passer chez nous. »

Dans une longue interview donnée récemment à L’Obs, le secrétaire général laisse entendre que si le privé s’embourgeoise, c’est par pur effet de balancier des aides accordées au public. « D’une certaine manière, les conditions de la concurrence sont faussées. Moins le public coûte cher, plus le prix relatif du privé est élevé. » Auprès de Mediapart, il enfonce le clou : « On a créé des ghettos dans l’enseignement public. Nous n’en sommes pas comptables. » 

Retrouvez l'ensemble de ces articles sur le site de l'Enseignement catholique.